Blague sur dsk

Je vous avais promis une caricature de dsk, ça 'y est c'est fait mais ça n'a pas été sans mal car mine de rien, il n'est pas si facile à dessiner le bonhomme.

Je n'ose pas sortir de nouvelle blague sur strauss kahn tellement j'en ai déjà lu. C'est impressionant le cadeau qu'il a fait à tous ceux qui aiment chercher des trucs rigolos, sans même le vouloir si ça se trouve, hein? On peut s'imaginer que c'était pas son but premier quand il a fait le machin qu'on n'est pas encore sûr qu'il a fait et qu'il faut employer le conditionnel à chaque phrase si on voudrait pas trop s'avancer.

Je souhaite donc remercier solennellement Dominique Strauss kahn car il m'a fait exploser les statistiques de visites. A croire que tout le monde cherche des blagues sur dsk. Le pauvre, il doit avoir les oreilles qui sifflent à l'heure qu'il est. Mais attention, pauvre victime aussi. Vous remarquerez qu'il est interdit de plaindre dsk sans avoir une pensée émue pour la victime, sinon, c'est du sexisme. On a pas le droit de pleurer sur le sort du présumé agresseur sans se lamenter également sur la victime potentielle qu'on est pas sûr qu'elle a été agressée mais que si c'est le cas c'est quand même elle qu'est la plus mal.

Les journalistes ont un mal fou à parler de tout ce qui se serait peut-être éventuellement passé tellement il faut prendre des pincettes et tellement ils n'ont finalement pas grand chose à dire mais qu'il faut en parler quand même. Amusez vous à regarder les infos en coupant le son, en ce moment, c'est particulièrement intéressant. On constate à quel point leurs images sont sans intérêt : notamment un gros plan sur le bouton de l'ascenseur pour arriver à la porte de l'appartement de la bonne, porte sur laquelle on fait un long plan rapproché qui nous dit "c'est là qu'elle habite" (ne surtout pas confondre avec le fameux "c'est là qu'est la..."). Voilà une image bien intéressante. Comme si on était tellement concentré sur les commentaires qu'on ne captait plus réellement l'image. Je pense qu'ils pourraient nous faire passer sur l'écran une famille canard, se dandinant jusqu'à la mare, qu'on ne s'en rendrait pas compte.